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Les absents !

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Les Orfèvres ont pu voir le jour grâce à une équipe soudée, débrouillarde et motivée.

 

 Survolez les personnes pour connaitre leur nom et leur poste.

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Nous envisageons alors de promouvoir cette série en web-série. Clémence Brothier, l’assistante de production, en prend les rênes ; elle s’entoure de Paulette Paillette - web designer - pour élaborer une esthétique alliant respect de l’univers fictionnel et modernité attractive.

 

Elle met en œuvre le site officiel des Orfèvres, comprenant des boni intelligents tels que la carte interactive de Sabreux-sur-Seine, par exemple, ou encore l’histoire de la  genèse du projet, mais bien d’autres supplément enrichissants comme vous pouvez le constater ici-même.

 

Nous souhaitons que vos promenades dans cet espace soient le plus agréable possible. N’hésitez donc pas à nous faire par de vos remarques et conseils par mail ou sur notre page facebook. Et parlez-en autour de vous pour que la série puisse enfin avoir les spectateurs qu’elle mérite.

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Juin 2014 : nous présentons la première à l'Arvor en présence de toutes les personnes ayant participé de près ou de loin au projet.

 

Quelques mois plus tard, nous organisons une soirée Les Orfèvres avec toute l’équipe de la série aux Ateliers d’Aran. La salle de projection est petite (une jauge de 15 personnes), nous proposons plusieurs projections d’affilée, le but étant de faire venir le plus de personnes possible aux heures qui leur conviennent, et ainsi voir les épisodes, rencontrer l’équipe de la série, voire, siroter un verre en dégustant des mets préparés par nos soins. Durant cette soirée, nous avons projeté six fois la série et environ cent personnes sont venues découvrir ou redécouvrir les nouveaux épisodes.

 

Le 4 juin 2015, Les Orfèvres sont passés par le Festival du film de l’Ouest à Betton dans la section Les projections-rencontres.

 

Suite à ces projections, il fallait parler d’avenir : que faire maintenant ? Nous avons encore moult aventures à raconter avec Les Orfèvres, mais plus question de faire les choses bénévolement.

 

Nous nous sommes tournés vers les sociétés de productions. Notre objectif : trouver un producteur qui sera séduit par le projet et nous aidera à mener à terme d’autres épisodes. Nous avons contacté les sociétés rennaises, puis parisiennes, sans succès. Nous avons frappé aux portes des chaines de télévision mais paradoxalement, sans société de production pour nous accompagner, les portes sont restées fermées.

 

 

Quelles solutions pour la série ?

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Une fois tous les décors terminés, le casting au complet et l’équipe de choc réunie, le tournage peut commencer la dernière semaine d’octobre 2013 : 6 jours de tournage prévus pour 7 épisodes.

 

Finalement, l’emploi du temps est trop dense, le temps imparti trop court, la suppression d’un épisode est nécessaire pour conserver la qualité des autres.

 

Voici quelques vidéos de répétitions et de moments volés entre les prises pour vous montrer comment se déroulait notre tournage.

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Pour trouver les acteurs, Clémence Brothier et Aymeric Dein ont écumé les différents cours de théâtres Rennais : la Maison Bleue, la MJC de Saint Thérèse, Le Cercle Paul Bert, la MJC Antipode, la MJC de Bréquiny, le Colombier, jusqu’à un cours de théâtre au Rheu.

 

 

Nous voulions également travailler avec des acteurs que nous connaissions et dont certains des rôles ont été créés sur mesure. De fait, trois comédiens de la Compagnie Ocus ont été mobilisés.

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Une nouvelle aventure commence. Le château de la Chapelle Bouexic n’étant plus accessible, nous devons, en plus de ce décor, trouver nos autres lieux de tournage inédits : une boucherie, un bordel, un bar clandestin... Mais nos recherches se sont toutes soldées par des échecs.

 

Après quelques semaines, Gaëtan Grosdoy, un ami du scénariste Charles Piquaut, lui parle d’une boucherie désaffectée dans son patelin, avec, de surcroit, un bar à l’abandon dans la même rue. Nous nous rendons immédiatement sur place pour découvrir les lieux, à une petite vingtaine de kilomètres de Rennes dans la bourgade de Saint Armel. La boucherie est parfaite mais le bar ne correspond pas à ce que nous cherchons, néanmoins il se situe dans une maison où l’étage est inexploité et complètement défraichi. Nous y voyons un terrain propice pour y construire un décor à notre guise, un lieu idéal en somme pour façonner le bordel. Le travail en perspective est colossal mais la marge de liberté est alléchante.

 

Gaëtan nous propose également de faire un tour dans la ferme de son père, Pierre, pour voir si certains lieux peuvent nous intéresser : une ancienne cave à cidre qui deviendra le bar de p’tit Louis, le clandé ; un frigo à pomme qui deviendra l’arrière boutique de la boucherie et un hangar qui servira à recréer les rues de Sabreux-sur-Seine.

 

Après avoir terminé toutes les démarches administratives concernant les décors, à savoir : trouver qui possédait la boucherie et le bar afin de leur demander la permission de tourner à l’intérieur (merci aux habitants de Saint Armel et à son maire pour leur bienveillance et leur générosité), nous avons pu enfin entamer la confection des décors : une longue période de travaux de construction par une petite équipe fort motivée. Le résultat est à la hauteur de nos espérances, Sabreux-Sur-Seine prend vie sous nos yeux. La preuve en vidéo (vidéo de la construction du bordel).

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Très rapidement nous décidons de publier les épisodes sur internet, d’abord pour les amis et la famille. Puis encouragés par les plus enthousiastes, nous proposons Les Orfèvres à différents festivals pour donner une plus large visibilité à notre travail.

 

En 2013, Clair Obscur nous offre la possibilité de participer au festival Travelling dans la catégorie « Films de Bretagne : le cinéma associatif rennais ». Nos épisodes sont donc présentés pour la première fois sur grand écran parmi huit autres films, le mercredi 20 février 2013, au Liberté à Rennes.

 

Les organisateurs du festival Quai des Bulles à Saint Malo, festival qui pourtant concerne le neuvième art, nous invitent à diffuser Les Orfèvres lors de leur Après-midi Polar, le 30 septembre 2013.

 

La plupart des retours sont positifs et parmi les spectateurs, une question revient sans cesse : à quand la suite ?

 

Notre désir de continuer se heurte alors à la dure réalité : la quête d’un financement. Qui plus est,  le projet a eu le temps d’évoluer entre temps et nous souhaitons tourner nos nouveaux épisodes dans un format plus long avec davantage de personnages et de nombreux décors inédits.

 

Nous lançons une campagne de crowdfunding sur le site Ulule afin de récupérer les 3000 euros nécessaires. Grâce à une promotion acharnée et surtout grâce à nos généreux donateurs (72 en tout ! Merci papa, merci maman !), la somme est réunie, le tournage peut enfin commencer.

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Tout a commencé en 2011, avec un projet ambitieux pour notre association : adapter Le Horla de Maupassant en court-métrage. Après des mois de travail sur la transposition de la nouvelle en récit filmique, nos recherches de financements et nos démarches auprès des sociétés de production se sont avérées laborieuses et, au final, décevantes. Il était nécessaire pour Scenaroptik de prendre du recul et se mettre au vert pour souffler un peu.

 

C’est lors de cette bouffée d’oxygène qu’une nouvelle idée a germé dans l’esprit de Yannick Orveillon : Les Orfèvres. Un format court, rapide à tourner, quelque chose de frais et de drôle. Tout le monde était enthousiaste : de l’argot, des costumes, des flingues, un petit côté Tontons Flingueurs, des épisodes de trois minutes…

 

Vogue la galère ! Un mois plus tard nous nous retrouvons dans la cave du château de la Chapelle Bouexic chez nos copains de la Compagnie Ocus ; une équipe minimaliste pour un tournage efficace. Les acteurs se rasent à l'eau froide en plein hiver, la salle de pause n'est pas chauffée, la mérule attaque les murs mais ça tourne ! Notre premier épisode est dans la boite : Tony le Stéphanois.

 

Satisfaits du résultat, nous décidons de réaliser trois épisodes supplémentaires que nous tournons en un week-end - emballé c'est pesé pour A bas la calotte, La Serpette et L’embuscade !

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Scrollez pour comprendre la genèse de cette web-série

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